Couverture
20/10/2025

La couverture, un métier de passion et d’apprentissage

Si restaurer un monument historique comme l’Hôtel de Ville de Reims exige précision et rigueur, c’est avant tout un métier d’hommes et de femmes passionnés qui permet de redonner vie à ces pierres et ardoises chargées d’histoire.

Christophe Harnois, responsable de l’entreprise SARL Garnier, nous explique :

Notre métier est technique, il se transmet par l’apprentissage, par le terrain. Chaque chantier est différent, il y a une adaptation permanente !

Issu de la formation des Compagnons, Christophe Harnois met un point d’honneur à former les jeunes et à partager son savoir-faire. Chez CUPA PIZARRAS, nous sommes également très heureux de contribuer à la transmission de ce savoir-faire traditionnel, un métier riche de passé et plein d’avenir.

Aurélie Granier, architecte du patrimoine à la ville de Reims, confie que, pour elle, la couverture est son corps de métier préféré dans le bâtiment. Elle apprécie particulièrement ce métier pour la richesse de son savoir-faire et l’apprentissage constant qu’il offre. Selon elle, côtoyer les Compagnons du devoir sur les chantiers est une source d’enseignement précieuse.

Pour ce chantier de restauration, l’ardoise utilisée est la CUPA Patrimoine 5 – carrière 4, Armadilla, une ardoise d’exception reconnue pour sa grande qualité et sa durabilité. Avec une épaisseur de 5 mm, elle permet une pose particulièrement serrée et assure une excellente tenue dans le temps.

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Attirer les jeunes vers le métier

L’intégration des apprentis est une priorité pour l’entreprise Garnier. Christophe Harnois raconte sa méthode :

Dans notre entreprise de vingt personnes, nous accueillons généralement deux apprentis par an. Je les invite à venir une semaine l’année précédente, afin qu’ils voient concrètement leur futur quotidien, tester leur aisance sur un échafaudage, sur un toit, découvrir la diversité des chantiers et voir si ça leur plaît.

Être couvreur, c’est une vocation. La météo peut jouer des tours, le métier est manuel, mais c’est cette diversité et ce lien entre la tête et les mains qui le rendent si passionnant. Christophe poursuit :

Il faut aimer faire des choses de ses mains, et à la fois avoir une tête bien faite, car les mains n’avancent bien que si la tête réfléchit.

Entre bâtiments patrimoniaux, maisons individuelles et constructions industrielles, la couverture reste un métier riche et varié, qui ne cesse de se renouveler à chaque chantier.

C’est ça le côté intéressant de notre métier : on ne fait jamais exactement la même chose, et c’est ce qui rend l’aventure passionnante !

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lightbulb icon frSi le métier de couvreur vous passionne et que vous ne savez pas encore dans quelle direction vous orienter, contactez-nous. Nous vous guiderons vers le centre de formation le plus proche ou la meilleure option pour vous.